![]() ![]() Il revient alors dans son village de Chahaignes et passe 2 à 3 ans à dénicher des friches en coteaux qui lui conviennent. La volonté de posséder ses propres terres pour y planter sa vigne et de faire du vin à sa façon, c’est-à-dire sans souffre, en laissant le jus de la vigne jouer sa partition. Puis est venue une nouvelle étape sur sa route. Pour cette aventure, il choisit le XIème arrondissement à une époque où ce Paris de l’Est avait profondément encore sa typicité populaire, rue Richard Lenoir. Il crée ensuite un restaurant-bar à vins à Paris, qui lui permet d’entreprendre la longue marche du vin, de goûter et définir encore mieux les vins qu’il aime. ![]() C’est ainsi qu’il a croisé la route de Michel Bettane… et fonde avec ce dernier « Le Rouge et le Blanc» en 1983. Jean-Pierre développe sa connaissance des vins au contact des hommes qui le font, les vignerons et ceux qui en parlent et les font connaître, les passionnés et les journalistes du vin. Petits boulots, débrouille, puis sa rencontre avec le vin à 22 ans sonne comme une révélation ! Sa vie ne peut plus se concevoir désormais sans qu’il sa fasse une place dans ce monde-là. À la recherche d'un moteur de vie, d'une passion, Jean-Pierre Robinot décide alors de quitter son village de Chahaignes, dans la Sarthe, pour se rendre à Paris. ![]() On n'est pas sérieux quand on a 17 ans… Enfin paraît-il. Faut-il vraiment présenter Jean-Pierre Robinot ? Fondateur de la revue «Le Rouge et le Blanc» puis gérant un temps du bistrot parisien «l'Ange Vin», le bonhomme navigue dans le milieu du vin naturel depuis des lustres où son nom résonne comme celui du Pape à Rome.
0 Comments
Leave a Reply. |
AuthorWrite something about yourself. No need to be fancy, just an overview. ArchivesCategories |